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    Cette fiction  est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée du début à la fin.

     

     

    Oyez ce petit con au look patibulaire,

    Qui crie, sous tous les tons, ses intimes chimères !

    Ce solde d’avorton, tout juste né d’hier,

    Sans aucune raison, en appelle à ma mère !

     

    Je ne le connais pas, il n’est pas du quartier !

    D’une armée de pieds plats il a dû s’échapper !

    Ne vous détrompez pas, quand il marche isolé,

    Il n’a plus ni gros bras ni désirs d’obsédé…

    Il va, tel un gibbon, poussant son cri de guerre,

    Il est, côté jargon,  comme un veau « qu’a » bu l’air,

    Son cursus est bidon, il a fui le primaire

    En promettant aux pions l’avanie pour leurs mères…

    Si vous le contrariez n’allez pas jusqu’au vice

    De feindre d’appeler quiconque à vos services,

    Ce petit effronté, le doigt en appendice,

    Se targue – oh, volupté ! -  de niquer la police !

    Je l’ai vu récemment, à quelques pas d’ici,

    Bomber le grand mur blanc d’ignobles graffitis ;

    Cette fois, l’insolent, qui débordait d’envies,

    Rêvait, tel l'impuissant, de violer Sarkozy.

    N.T.M, N.T.M, il n’a que ce mot là,

    Ça signifie « je t’aime » au pays des mechtas,

    Soumettons le dilemme à Erik Orsenna

    Pour qu’il l’inscrive en thème au prochain blablabla….   

     

    Au diable les problèmes et autres cris du cœur !

    Qui jette l’anathème est noyé dans l’erreur !

    Pour cet énergumène - en pensant à ses soeurs -,

    J’ai écrit ce poème empli de mots charmeurs…

     

     

      

    KERFON LE CELTE

     

     

     

     

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