-
Ô ! Comment taire...
Ô ! Comment taire… ?
L’endroit en vers se meurt privé de commentaires,
Il aime la ferveur et craint les courants d’air,
Alors, vous qui venez balader vos neurones,
Osez ! Osez ! Osez un simple émoticône…
S’il vous venait l’envie d’en écrire plus long,
Faites, je vous en prie, point besoin de brouillon
Et si, malgré la foi, certains mots vous échappent,
Qu’il plaise aux rabat-joie de vous lâcher la grappe…
Pour marquer son passage il n’est point nécessaire
D’écrire un long message en taquinant les vers,
Certains ont une Muse et d’autres n’en ont pas :
Moi, quand la corne m’use : Oh, Yeah ! L’harmonica…
Avant d’écrire ces mots, fulminant en secret,
J’avais, au ciboulot un tout autre projet :
Je voulais simplement éteindre ma musique,
Ce qui, apparemment, ne demande qu’un clic…
Mais je reprends espoir et toque à votre porte
Offrant mes idées noires au vent qui les emporte ;
Venez, quand vous voudrez m’offrir vos impressions,
Vous trouverez la clé dessous le paillasson…
L’endroit en vers se meurt privé de commentaires,
Il aime la ferveur et craint les courants d’air,
Alors, vous qui venez balader vos neurones,
Osez ! Osez ! Osez un simple émoticône…
KERFON LE CELTE
Tags : Boulevard, kerfon
-
Commentaires
Je suis toujours dans le déménagement de mes textes d'Overblog à Eklablog...
Long, long, long...
Ajouter un commentaire
!
trop de plaisir à te lire...je ne te lâche plus la grappe !