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Deux flics amis, amis...
Deux flics, amis, amis...
Police scientifique…
Au pied de leurs engins deux motards de police
Scrutent les Parisiens qui filent sur l’A.10…
L’âme peu ouvrière, ils ne sont point cachés,
Le fait, peu ordinaire, est ici souligné.
Travailler un dimanche n’est pas émoustillant,
Aussi, les deux comanches attendent patiemment :
- L’un se frotte le pif en regardant ses basques,
- L’autre paraît pensif et se gratte le casque.
En voyant ces kikis, assis dans sa Jaguar,
Un nabab de Neuilly trouve le fait bizarre :
« J’aimerais bien savoir, dit-il, l’air impérial,
Pourquoi l’un des flicards se gratte l’intégral ? »
L’inquisiteur s’arrête et ose sa question ;
Le policier s’inquiète, il connait la chanson ;
L’homme est abasourdi, troublé par la requête
Puisque, dans son esprit, il se gratte la tête.
Le Parigot hardi, tout en restant mielleux,
Dit qu’un guili-guili sans le casque c’est mieux ;
Ceci n’est qu’un conseil offert sans pétulance
Attendu que le fiel nourrit les contredanses…
Le policier s’explique et ses mots feront mouche ;
L’homme à de la réplique… en fin d’envoi il touche :
«Et vous, mon cher ami, pour vous gratter le fion,
Avez-vous pour manie d’ôter le pantalon… ! ? »
KERFON LE CELTE
Tags : police, motard
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Commentaires
Woui, woui, woui... Même effet pour les porteurs de perruques ? Auras-tu le toupet de ma répondre ?
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belle chute...de rein !