• L’envie pressante…

     

      http://boitagifs.free.fr/images/annimaux/chien_qui_fait_pipi.gif

       

    L’homme - entre nous soit dit – ne naît pas téméraire ;

    Je le démontre ici par un exemple clair ;

        Quand il rencontre un chien en quête d'un endroit,

    Il peut être câlin ou alors aux abois…

     

    Pour peu qu’un "chihuahua" pisse sur ses souliers,

    D’emblée il lui octroie un violent coup de pied,

    Mais si le canidé est "pitbull" aguerri

    Il le laisse vider son trop plein de vessie…

     

    Ce n’est donc pas à tort que, pour quiconque a peur,

    La raison du plus fort demeure la meilleure ;

        Un homme profilé en pied de lampadaire

    Doit, c’est bien évident, se taire et laisser faire…

      

    KERFON LE CELTE

      

     http://gifs.toutimages.com/images/ani_domestiques/chiens/chien_423.gif

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  •  

     

    Le rat des villes

    et le rat des champs

    (version Kerfon le Celte)

     

     

      Au coin de la rue Cent et de la rue d’Émile,

    Un jour le rat des champs croisa le rat des villes ;

    En ce lieu où tout casse affleure l’égout percé

    Lors, nombre de rats passent y faire leur marché…

     

     « Chez toi, fit le bouseux, humer est un chagrin !

    Sans mentir j’aime mieux respirer le purin ! 

    Je ne sais pas comment tu peux te plaire ici,

    En l’absence de vent tu risques l’anoxie… »

      « Ça ne sent rien du tout ! Surenchérit l’urbain,

    A cette heure, il est fou d’oser parler parfums !

    Reviens en matinée, quand coule l’eau des chiottes,

    Là, je peux t’assurer que vraiment ça cocotte ! »

     

    Mais le rat, grand chauvin, qui en avait trop dit

    Jugea fort opportun d’adoucir son récit :

    « Je dois te préciser que l’eau qui coule ici

    Une fois épurée ruisselle dans ton puits ! »

      Le raton campagnard s'écroule en pâmoison.

    Il se souvient, geignard, ses cours de natation.

    Frappé d’hypocondrie il se souvient des tasses

    Qu’il avait, dans le puits, avalées lors des brasses.

     

    Déprimé le rongeur regagna ses pénates,

    Un havre de senteurs sans se fouler la rate ;

    Il partit en secret à la consultation

    En jurant, désormais, de bannir les plongeons.

     

    Que l’on soit rat de ville ou encor rat des prés

    Il est des débats vils qu’il convient d’éviter ;

    L’égout et les odeurs ne se discutent pas,

    Ce sujet ravageur ne plaît qu’aux scélérats.

     

    KERFON LE CELTE

     

     

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  •  

     Sortir enfin du flot

     des mal-logés…

     

        

     

     

    Vous êtes sans abri ? Le 115 fait défaut ?

    Rendez-vous, sans avis, chez Cécile Duflot,

    La dame étant logée aux frais de la princesse,

    Elle doit vous trouver un coin plein de tendresse…

     

    Mais soyez pointilleux ainsi qu’elle sait l’être,

    Demandez toujours mieux, le confort à la lettre,

    Ne soyez pas gênés, ne dites point merci,

    Vous êtes l’invité, prenez le meilleur lit…

     

    N’oubliez pas non plus, sur le plan boustifaille,

    De scruter le menu dans ses moindres détails,

    Surtout ne cédez pas, exigez le bio,

    Celui qui ne paie pas peut s’armer de culot…

     

    Si vous êtes apeuré, si vous craignez le noir,

    Réclamez, au coucher, une petite histoire ;

    La maîtresse des lieux, en sensuelle avertie,

    Peut pousser le moelleux jusqu’à la gâterie…

     

    Vous êtes sans abri ? Le 115 fait défaut ?

    Rendez-vous, sans avis, chez Cécile Duflot ;

    Y’a pas plus généreux qu’un cœur ministériel :

    Tentez la chance au jeu, rêver est essentiel…

     

    NB : Pour nicher, dénicher un abri côtier

    c'est s'assurer, à terme, le gîte et le couvert...

     

    KERFON LE CELTE

     

     

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  •  

    Louis dort…

    (Le revers de la médaille...)

     

     

    Seule la poule aux oeufs d'or ne dort jamais... 

     

     

    L’imposant Monsieur Louis dort sur un bas de laine…

    Il compresse sous lui des Louis d’or par centaines…

    Lors, il ouït qu’à son huis nombreux croque-mitaines

    Sont prêts, pour quelques Louis, à lui couper l’haleine…

     

    Dans son lit Monsieur Louis a raison d’être blême...

    La nuit qui fond sur lui s’ouvre sur un dilemme :

    - S’il ne se fie qu’aux Louis l’aube sera sereine…

    - S’il ne se fie qu’à l’ouie l’aube sera sœur haine…

     

     

     NB : La soif de l’or est une spirale…

    Vous avez ici un aperçu du lieu où cette roue mène…

     

     KERFON LE CELTE


          Ce texte fustigeant la fièvre du métal précieux

    ne doit pas vous faire oublier de signer le livre d'or....

     

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  •   

    Le test-amant…

     

    Le test-amant...Le test-amant...

     

     

    Un riche financier coucha, sur testament,

    Le vœu d’être enterré avec tout son argent ;

    Sa vie n’étant qu’affaires, il possédait en caisse

    De quoi quitter la terre avec le cœur en liesse…

     

    Après l’extrême-onction (sauf-conduit du chrétien),

    La meuf du moribond douta du lendemain ;

    Elle craignait surtout, pour l’avoir déjà vu,

    Qu’une absence de sous lui ouvre un coin de rue…

     

    La dame ne pouvait, en raison de l’écrit,

    Agir, même en secret, pour garder le grisbi ;

    Mais étant fort maline et prête aux jours nouveaux,

    Elle la joua fine et garda le magot…

     

    Porteur d’un chèque en bois libellé au porteur,

    Le défunt, l’âme en joie, vogua vers le Seigneur ;

     Reste à savoir si - ce serait le bémol -,

    Existe, au Paradis, un « CRÉDIT AGRICOLE ® (*) »…

     

    (*) = Le bon sens, près de chez vous...

     

    KERFON LE CELTE

     

    Le test-amant...

     

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  •  

     

    Otto-stop… !



    Otto-Stop...!
     

     Otto et Matic…

     

    Un dogue, l’autre jour, me prit en auto-stop,

    Je venais de Collioure et partais pour Saint Trop ;

    Je n’avais plus d’euros pour un billet de train

    Et mes jarrets, cabots, manquaient par trop d’entrain.

     

    J’ai ressenti d’emblée qu’en dédommagement,

    Le dog avait l’idée d’un licencieux paiement ;

    Etant un peu pressée, j’ai sommé le galop

    Histoire d’enclencher la marche commando…

    Usant son plein des sens, je l’ai fait se presser

    Assurant que l’urgence était récompensée ;

    Très peu doté en flair l’idiot n’a pas compris

    Qu’en titillant ses nerfs j’émoussais ses envies…

    Arrivé à Saint Trop, l’Otto n’en pouvait plus,

    Moi, je frôlais le top, tout juste un peu fourbue,

    Sans réclamer son dû le sot s’est endormi,

    Offrant à ma vertu un légal sauf-conduit…

     

    Plus les têtes sont grosses et moins elles contiennent,

    La dimension des os n’influe point sur les gènes ;

    C’est chance cependant pour le futé clébard

    Que cet Otto, collant, faisait fi des radars…

     

    KERFON LE CELTE

     

    Otto-Stop...!

     

     


     

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  •  

    Les moutons… !



     

     

    Les moutons font la moue, c’est le jour du barbier

    Et l’homme pressé noue son vilain tablier ;

    La tondeuse est en main, il faut former la chaîne,

    Un à un les ovins tournent à perdre haleine…

     

    Ainsi, un jour sur deux pour éviter le stress,

    Le préposé pileux taille la laine épaisse ;

    Ses clients moutonneux lui arrivent dodus

    Et, le fait est honteux, ils en repartent nus…

     

    Aujourd’hui, c’est relâche, la moue tarde à venir,

    Sur le plancher des vaches la troupe enfin respire.

    Lors, elle se rassemble dans la verte pâture :

    Le seul fait d’être ensemble rend tous les moutons sûrs…

     

    Fin de l’opération, peau lisse et les deux tons,

     Dans la stabulation circule un grand frisson :

    Berger, grâce aux moutons tu te magnes l’écu,

    Simple affaire de pognon : la pelote est ton dû…(*) !

     

    (*) = Maintenant vous savez pourquoi

     les propriétaires de chèvres aiment ce gain.

     

    KERFON LE CELTE

     

    Les moutons font la moue...

     

     

     

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  •  

     

        Cette fiction  est entièrement vraie, puisque

    je l'ai imaginée du début à la fin.

     

     Oyez ce petit con au look patibulaire,

    Qui crie, sous tous les tons, ses intimes chimères !

    Ce solde d’avorton, tout juste né d’hier,

    Sans aucune raison, en appelle à ma mère !

     

    Je ne le connais pas, il n’est pas du quartier !

    D’une armée de pieds plats il a dû s’échapper !

    Ne vous détrompez pas, quand il marche isolé,

    Il n’a plus ni gros bras ni désirs d’obsédé…

    Il va, tel un gibbon, poussant son cri de guerre,

    Il est, côté jargon,  comme un veau « qu’a » bu l’air,

    Son cursus est bidon, il a fui le primaire

    Promettant à ses pions avanies pour leurs mères…

    Si vous le contrariez n’allez pas jusqu’au vice

    De feindre d’appeler quiconque à vos services,

    Ce petit effronté, le doigt en appendice,

    Se targue – oh, volupté ! -  de niquer la police !

    Je l’ai vu récemment, à quelques pas d’ici,

    Bomber le grand mur blanc d’ignobles graffitis ;

    Cette fois, l’insolent, qui débordait d’envies,

    Rêvait, tel l'impuissant, de violer Sarkozy.

    N.T.M, N.T.M, il n’a que ce mot là

    Qui signifie « je t’aime » au pays des mechtas,

    Soumettons le dilemme à Erik Orsenna

    Pour qu’il l’inscrive en thème au prochain blablabla….   

     

    Au diable les problèmes et autres cris du cœur !

    Qui jette l’anathème est noyé dans l’erreur !

    Pour cet énergumène - en pensant à ses soeurs -,

    J’ai écrit ce poème empli de mots charmeurs…

      

    KERFON LE CELTE

     

     

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  •   

    Les trois petits cochons

    et le grand méchant loup...

      

     

     

    Heureux dans leur maison, à l’abri du tapage,

    Trois beaux petits cochons vivaient heureux et sages ;

    Il y avait « Pif-Pif » - petit gros patapouf -,

    « Paf-Paf » - plus chétif - et le farceur « Pouf-Pouf »…

     

    Un loup rentra soudain snobant le carillon ;

    Il venait de très loin, chasseur d’allocations ;

    Lors, les petits cochons jusqu’ici protégés,

    Non armés pour l’action, furent terrorisés…

     

    « Arrh ! Salam Aleykoum ! » Lança le visiteur

    En observant « The room » où régnait la torpeur,

    Les apprentis gorets s’en étaient fait à tort :

    L’intrus qu’ils redoutaient vivait franco de porc… !

     

    KERFON LE CELTE

     

    Les trois petits cochons et le méchant loup... (fable)

     

     

     

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  •   

    Fête des Pères....

     

    Vérité kerfonnienne...

        A partir de ces douze roses, vous aurez six bouquets

    si vous faites des paires...!

     

     

    En ce jour, ma pensée va vers tous ces pères

    que la fête laisse amers…

     

    KERFON LE CELTE

     

    Vérité kerfonnienne...

     

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